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  • This article reviews "Modern Economic Growth, Rate, Structure and Spread" by Simon Kuznets.

  • This article reviews "Sky Full of Storm : A Brief History of California Labor" by David F. Selvin.

  • Loin de contredire la « logique » d'une économie capitaliste, la planification souple peut, au contraire, renforcer les conditions d'une croissance soutenue et harmonisée et corriger partiellement les déséquilibres et les tensions nécessairement liés au développement.

  • The depression of the 1930's confronted Canadians with shrinking markets, falling prices, a drought-stricken Prairie region and mass unemployment. Consequently there was an enormous burden of relief and welfare. Financial support from the Dominion was needed in all areas, but since not all areas were affected equally some required more assistance than others. The federal government gave grants and loans to the provinces to assist "('with relief costs and Ln some cases increased provincial subsidies. To alleviate distress the Dominion also carried on a public works program and established relief camps for single men. Not everyone viewed the depression in the same way. In 1930 the Workers' Unity League was established to organize labour into "revolutionary unions" for the struggle against capitalism. The League worked under the assumption that a time of crisis was favorable both in terms of the expansion of the League and the onslaught on the existing system. At the midpoint of the 1930's several hundred men on the initiative of a union established in the relief camps by the Workers' Unity League left these camps in British Columbia. After months in Vancouver they started on a trek to Ottawa to present six demands to the government. They were stopped in Regina. On July 1, 1935 a riot, which has been termed the Regina Riot, broke out in the city. Although some writers have referred briefly to this event a detailed study has not been made. The writer hopes to make a small contribution to the examination of the events of the 1930's by examining the Regina Riot. The main purpose of this study is to trace the events which culminated in a serious riot. The examination is primarily concerned with a study of the events in an attempt to explain why there was a Regina Riot. Although the riot was related to the broader problems of the depression and government policies in coping with the depression, these aspects are touched upon only to the extent that they related specifically to the events surrounding the riot. Relief camps are discussed, but it is outside the scope of this study to make a detailed evaluation of this or any other type of relief measure. Although the leader of the trek was an avowed Communist and the organization in the camps had been established by a Communist organization, the question of Communism in the 1930ls is not examined except where it applies specifically to the events of this study. The movement of the men out of the camps to Vancouver and their stay in Vancouver involved to a greater or lesser degree the striking relief camp men, the municipal, provincial and federal governments, as did the trek eastward. The decisions and actions of each are examined. The trek was stopped in Regina by the federal government. that very important decision resulted in a confrontation of the strikers and the federal government and also involved in the dispute the provincial government. The events of this period are examined, along with the incidents that touched off the actual riot. Finally the inquiry into the riot and the eventual disposition of the relief camps are discussed.

  • L'auteur expose sa conception de la place et du rôle d'un sociologue travaillant pour le compte d'une entreprise. De là il tire certaines conclusions se rapportant à l'enseignement de la sociologie dans les universités.

  • L'auteur soutient que l'intégration politique du syndicalisme, soit comme groupe d'intérêt soit comme corps intermédiaire, pendant la Révolution tranquille n'a pas été, en dépit d'un net progrès sur la période pré-1960, aussi profonde et définitive qu'on l'avait espéré. Cette période a cependant été pour le syndicalisme l'occasion de prendre conscience de certaines contradictions intrinsèques et de reviser ses objectifs, méthodes et structures. Enfin, à l'encontre des autres observateurs, l'auteur prétend que les principaux objectifs des deux centres ouvriers pendant cette période, n'ont pas été aussi radicalement différents qu'on le prétend généralement.

  • La Cour suprême affirme la validité, au regard de la constitution, du pouvoir de la C.R.T. de prononcer la dissolution d'associations ayant participé à des infractions à rencontre de la liberté syndicale. Rappel, par ailleurs, par le tribunal de première instance, de la validité du pouvoir de la C.R.T. d'ordonner la réintégration du salarié congédié pour activité syndicale et de fixer, en cas de désaccord, le montant de l'indemnité.

  • Un arrêt récent de la Cour d'appel 1 incite surtout à réévaluer le caractère réglementaire de la convention collective. S'il est acquis que celle-ci impose des normes minima, en matière de salaire notamment, aux ententes individuelles conclues entre un employeur et des salariés, n'admet-on pas, par ailleurs trop facilement que des ententes individuelles puissent déroger à celle-ci en se montrant, de prime abord, du moins, plus favorables à certains salariés? (1) Gaston Robitaille et al. c. Les commissaires d'écoles pour la municipalité de la Cité de Thetford Mines, dossier 6660, Cour du Banc de la Reine, Québec, 1967 « B.R. » 206.

  • Un arbitre 1 se fonde sur la supériorité du texte de la convention pour refuser de donner effet à une pratique antérieure, mais contraire à celle-ci. Est-ce à nier la survie de tout usage pendant la durée de l'entente? (1) Me Harold Lande, dans l'affaire Commission Hydroélectrique de Québec c. Le Syndicat canadien de la fonction publique (957), décision du 1er mars 1967, rapportée à (1967) R.DT. p. 184.

  • A technology that permits a heavy flow of military and consumer goods, a mass education system producing a mass audience, untrained to higher tastes, a cultural é elite more heterogeneous in background and functions, more open to mass culture, these are all gains of abundance, but to what cost? The following text is drawn from an address presented at the last meeting of CIRRI and from the discussion which took place.

  • This article analyzes the organization of employers in the Netheriands for their industrial relations tasks. After first describing the role of individual employers and explaining why that role is a relatively small one, the article emphasizes the structure and functioning of employers associations in industrial relations. Special attention is given to the existence of pluralistic associations in a country where by tradition most if not all social organizations are pluralistically organized. The postwar wage and economic policies of the Dutch government have encouraged a high degree of centralized decision-making among employers as well as among labor organizations. The article concludes with some observations about the likely consequences of a current trend toward greater decentralization.

  • In December 1966, Prime Minister Pearson announced the creation of a Task Force on Labour Relations. Under the chairmanship of H.D. Woods, Dean, Faculty of Arts and Science, McGill University, Montréal, the members are: Gérard Dion, Professor, Department of Industrial Relations, Laval University, Québec; John H.G. Crispo, Director, Centre for Industrial Relations, University of Toronto; A.W.R. Carrothers, Dean, Faculty of Law, University of Western Ontario.

  • Un employé, assigné temporairement par son employeur hors des limites géographiques de son unité de négociation pour exécuter du travail de sa classification, ne perd pas, durant le temps de cette assignation, l'accumulation de ses droits d'ancienneté parce que n'ayant pas « quitté » cette unité de négociation.1 (1) Domtar Newsprint Ltd (Division Jacques-Cartier) et le Syndicat national des Mesureurs, Assistants-mesureurs, Gardes forestiers et Forestiers du Québec (C.S.N.) ; Québec le 16 juin 1966, Me Jean-Real Cardin, arbitre, Me Marius Dion, procureur patronal, M. Jules Lapierre, procureur syndical.

  • LE RAPPORT FREEDMAN Le texte ici présenté reproduit de larges extraits du Rapport de ia Commission d'enquête constituée de l'Honorable Juge Samuel Freedman, de la Cour d'Appel du Manitoba, en marge d'événements récents survenus en rapport avec la politique des Chemins de fer nationaux (C.N.R.) relativement aux parcours prolongés. Ce rapport revêt une importance considérable pour l'avenir des relations du travail au Canada en ce qu'il interprète, à l'occasion du cas précis qu'il étudie, les droits de la direction des entreprises en matière de changements technologiques, et qu'il dégage le principe général à l'effet que, nonobstant l'état actuel du droit et de la pratique en relations industrielles chez-nous, l'employeur ne peut décider seul en une telle matière, laquelle devrait être l'objet de négociation entre les parties intéressées, et donner ouverture aux mécanismes et aux recours prévus par les lois du travail pour la solution des conflits d'intérêts, en cas de mésentente. Si la mésentente survient pendant la durée d'une convention collective, le Rapport Freedman suggère qu'une distinction soit faite entre les changements technologiques mineurs, ne touchant pas de façon substantielle le régime du travail, et les changements majeurs de nature à altérer considérablement ce régime. Afin d'établir cette distinction, il suggère la procédure de l'arbitrage obligatoire. Si la décision est à l'effet qu'il s'agit d'un changement mineur, l'employeur pourrait y procéder immédiatement ; si au contraire, il est décidé que le changement en est un majeur, l'employeur ne pourrait le mettre à exécution durant le cours de la convention collective existante et le problème deviendrait matière à négociation lors des pourparlers en vue du renouvellement de cette dernière, comme toute autre matière faisant l'objet de ces pourparlers.

  • La Commission des Relations de Travail du Québec interprète l'article 75 de la Loi de la fonction publique et décide, en tenant compte des circonstances, que tous les services dans lesquels oeuvrent tous les salariés enseignants représentés par le Syndicat des Professeurs de l'Etat du Québec, sont essentiels pour la période s'étendant de la date de la présente décision jusqu'au terme de l'année scolaire, y compris la période des examens et de leur correction, et que la seule façon de maintenir ces services est d'interdire aux salariés en cause de faire la grève durant le cours de ladite période. (M. le commissaire René Gosselin, dissident.) 1 (1) Le Syndicat des professeurs de l'Etat du Québec et la Direction générale des Relations du Travail, représentant Sa Majesté aux droits du Gouvernement de la Province de Québec ; La Commission des Relations de Travail du Québec, Dossier 10937, Cas 1175, RA 59-9B; Jean Bérubé, J.D., vice-président, Georges-M. Côté, commissaire, Québec, le 21 mars 1966; René Gosselin, commissaire, dissident, Montréal, le 21 mars 1966.

  • Un arbitre vient à la conclusion qu'en vertu des dispositions de la convention collective de travail en cause, les employés techniciens assignés par un sous-traitant lié par contrat avec la Société Radio-Canada pour la production d'une série d'émissions télévisées, étaient directement dirigés et contrôlés, dans leur travail, par l'équipe de production de cette dernière Société, et cela d'une façon constante et continue, tout comme s'il s'était agi de ses propres employés. Il s'agit alors d'un contrat de services personnels et non d'un contrat à forfait ou d'« entrepreneur », pour autant que ces employés sont concernés. De plus, il ne s'agit pas d'un travail exhorbitant des fonctions ordinaires de la Société couvertes par la convention en cause, mais d'opérations techniques identiques à celles couvertes par cette convention. Enfin, le contrat entre l'employeur (Radio-Canada) et le sous-traitant (Editel Production Limited) en est un, dans les faits, de « location d'équipement » (rental of equipment) et lorsque l'employeur loue de l'équipement, tel que stipulé à l'article 47.1 de la convention collective, NABET a juridiction sur cet équipement. Si (quoiqu'il n'y ait aucun élément de mauvaise foi en l'occurence de la part de l'employeur) l'employeur était autorisé à continuer la pratique prévue à ce contrat de sous-traitance, ceci équivaudrait, en fait, à enlever au syndicat (NABET) et à ses membres la juridiction sur un travail ailleurs couvert par la convention collective en vigueur et exécuté normalement par ces derniers. Aux termes de cette décision, l'expression « assigner » à l'article 47.2 de la convention collective inclut, non seulement l'assignation de travail à des employés de Radio-Canada autres que ceux représentés par NABET, mais aussi à des « personnes » qui viennent de l'extérieur, du moment qu'elles agissent sous la surveillance et la direction constante de cette Société. En conséquence, considérant les exigences de la convention collective à son article 47, l'arbitre fait droit au grief syndical. Il est important de remarquer qu'il s'agit d'une décision « de principe » et qui doit valoir pour l'avenir. Elle ne devrait pas s'appliquer à l'émission même qui en est l'objet. Radio-Canada devrait pouvoir continuer la production de cette émission selon le contrat intervenu avec le sous-traitant, car il n'y a pas mauvaise foi de la part de Radio-Canada, il s'agit d'un litige de caractère nouveau entre les parties dont chacune pouvait prétendre avoir la bonne interprétation ; les dommages seraient trop considérables envers tous les intéressés si on y mettait fin présentement, aucun préjudice n'est causé aux membres du syndicat en matière de travail et de sécurité d'emploi; enfin, Radio-Canada n'a pas présentement, les disponibilités en personnel technique pour mener seul cette émission à bonne fin selon l'horaire et la programmation déjà établis. (1) In the Matter of a Special Arbitration based on a memorandum of agreement and in the matter of an Arbitration of a grievance processed under the provisions of a Collective Bargaining Agreement in operation between: Canadian Broadcasting Corporation, Employer, and National Association of Broadcast Employees and Technicians, Trade Union. Board of Arbitration: His Honour Judge J.C. Anderson, single arbitrator. Belleville, Ontario, June 28, 1966.

  • Le Service de Reclassement de la main-d'oeuvre du ministère du Travail a annoncé la conclusion d'ententes qui permettent de reclasser 205 mineurs qui devront quitter leur emploi à la suite de la fermeture de la mine East Sullivan de Val d'Or. Une clause de la dernière convention collective entre la compagnie et les métallurgistes unis d'Amérique prévoyait la formation d'un comité de reclassement. Le Ministère du Travail du Québec dans le cadre de sa politique de main-d'oeuvre, a accepté de constituer un comité de reclassement. Ce comité a étudié la situation des employés et a soumis des recommandations qui ont été suivies de signatures d'ententes entre le Syndicat et la compagnie. Le comité comprenait des représentants des ministères du Travail et des Richesses Naturelles, ainsi que des représentants de la compagnie et de l'union. Quatre ententes ont été signées sur le sujet suivant: les indemnités de licenciement, la récupération scolaire, la formation professionnelle, les subventions et prestations pour les fins de déménagement des employés.

  • La commission épiscopale de l'Action charitable et sociale a publié avec l'accord du Conseil permanent de l'épiscopat français des « réflexions sur la situation économique et sociale actuelle » qui sont un véritable document. C'est pourquoi nous publions cette note intégralement.

Last update from database: 9/22/24, 4:10 AM (UTC)

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