Rétroactivité permise en matière de sentences dans les services publics

Resource type
Title
Rétroactivité permise en matière de sentences dans les services publics
Abstract
Les jugements sont déclaratoires de droit. Le différend soumis à un Conseil d'arbitrage demeure ce qu'il était à l'origine. C'est donc le litige originairement soumis qui est décidé par la sentence arbitrale, ce qui implique rétroactivité. Il répugne à l'idée de justice que des employés soient privés des avantages qui leur sont postérieurement reconnus tout simplement parce que toutes les procédures de l'arbitrage n'ont pu être accomplies simultanément le même jour. L'Hôpital St-Ambroise de Loretteville et l'Association des employés de l'Hôpital de St-Ambroise de Loretteville; Hon. Paul Lesage, J.C.S., président; Marcel Bélanger, ca., arbitre patronal; Jacques Archambault, arbitre syndical; Ministère du Travail, Province de Québec, Bulletin No 1614, le 10 août 1961. Me Paul Lebel, c.r., procureur de la partie patronale, Me Magella Lemay, procureur de la partie syndicale.
Publication
Relations industrielles / Industrial Relations
Volume
17
Issue
2
Pages
186-187
Date
1962
Journal Abbr
ri
Language
français
ISSN
0034-379X, 1703-8138
Accessed
9/10/21, 4:52 PM
Extra
Publisher: Département des relations industrielles de l’Université Laval
Citation
Rétroactivité permise en matière de sentences dans les services publics. (1962). Relations industrielles / Industrial Relations, 17(2), 186–187. https://doi.org/10.7202/1021639ar