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The article reviews the book, "Histoire de la FTQ, 1965-1992: La plus grande centrale syndicale au Québec," by Louis Fournier.
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Basé sur une documentation en partie inédite, voici l'histoire du syndicalisme québécois depuis le début du XIXe siècle jusqu'en 1985, histoire qui évolue sensiblement au même rythme que celle des autres mouvements syndicaux en Amérique du Nord. --Publisher's description
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The article reviews two books: "Histoire des Franco-Américains de la Nouvelle-Angleterre, 1775-1990," by Armand Chartier, and "Les Franco-Américains de la Nouvelle-Angleterre, 1776-1930," by Yves Roby.
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The article reviews the book, "L'Histoire de la FTQ. Des tout débuts jusqu'en 1965," by Émile Boudreau and Léo Roback.
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Cette étude vérifie la perception que les Canadiens se font du syndicalisme depuis la Deuxième Guerre mondiale grâce à l'analyse d'un très grand nombre de sondages effectués par plusieurs firmes. Les sondages de Gallup Canada se sont révélés particulièrement riches d'informations car cette firme interroge les Canadiens depuis 1941 et répète certaines questions depuis plusieurs décennies. Cette continuité permet de retrouver les grandes tendances de l'opinion publique au Canada.
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The article reviews the book, "La vie d'artiste. Le cinquantenaire de l'Union des Artistes," by Louis Caron.
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This article reviews the book, "Mines et syndicats en Abitibi-Témiscamingue 1910-1950," by Benoit-Beaudry Gourd.
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This article reviews the book, "Working People: An Illustrated History of Canadian Labour," by Desmond Morton, with Terry Copp.
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Examines the Jewish workers in the Montreal clothing industry, where was considerable strike activity, from 1910-80. Presents data on the majority Jewish representation in the industry, many of whom had just arrived from Eastern Europe bringing their knowledge of the tailoring craft with them. Describes the growth of ready-to-wear clothing and the decline of home sweatshops ("the sweating system"), which gave impetus to establishing clothing factories that, in turn, sparked unions demanding recognition and better wages and working conditions. Concludes that the Jewish workers were exceptionally militant during the period.
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The article examines the landmark 1902 meeting of the Trades and Labour Congress of Canada, that took place in Berlin (now Kitchener). The Congress is an organization of labour unions, which during this 1902 meeting became an organization of exclusively international unions. This resulted from a long battle between international unions (like the Knights of Labor) and their rivals, such as the Conseil central des Métiers et du Travail de Montréal, which originated in Quebec. The 1902 Congress reinforced pre-existing structures that ensured international unions’ dominance in Canada.
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Les médias font régulièrement référence au taux très élevé de syndicalisation au Québec qui ferait de la province un château fort du syndicalisme en Amérique du Nord. Cette opinion est fondée sur les estimations de la densité syndicale fournie par le ministère du Travail du Québec dans sa publication annuelle Les relations du travail. Une analyse critique des sources et de la méthodologie utilisée par cet organisme montre que ses évaluations depuis le début des années 1980 ont tendance à surestimer fortement la syndicalisation. Les estimés fournis par Statistique Canada (CALURA et enquêtes) permettent une meilleure approximation du taux de syndicalisation qui se situerait à environ 41 % en 1992. Parmi les provinces canadiennes, le Québec est dans le peloton de tête avec la Colombie-Britannique, mais derrière Terre-Neuve. Ce taux relativement élevé le place au dixième rang parmi les pays industrialisés en 1989.
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Le propos de notre thèse consiste à tracer l'évolution des syndicats nationaux au Québec pendant la période 1900-1930. Par syndicalisme national, nous entendons les syndicats qui ont préféré s'organiser sur une base nationale plutôt que de s'affilier à une fédération internationale. Ces syndicats se divisent entre deux tendances: l'une, non-confessionnelle, basée sur un nationalisme politique; l'autre, confessionnelle, identifiée aux syndicats catholiques. Au tournant du siècle, les fédérations internationales qui se lancèrent à la conquête du Canada, augmentèrent de façon importante le nombre de syndicats affiliés. De 1898 à 1902, leur nombre doubla au Québec pendant qu'il triplait dans le reste du Canada. Au cours de leur expansion, les internationaux se heurtèrent aux syndicats nationaux déjà bien établis au Québec, particulièrement parmi les ouvriers de la chaussure. Il en résulta une série de conflits qui culminèrent avec l'expulsion des syndicatsnationaux du Congrès des Métiers et du Travail du Canada en 1902. Ces syndicats se regroupèrent alors dans le Congrès National des Métiers et du Travail du Canada dont l'objectif était d'amener les travailleurs canadiens â se donner des structures syndicales autonomes. Le Québec répondit à l'appel du CNMTC, mais les autres provinces ne se montrèrent pas aussi réceptives à la cause nationale. Réduit à devoir s'appuyer à peu près uniquement sur le faible réservoir de travailleurs québécois, le Congrès national, tout comme les fédérations nationales d'ailleurs, ne comptaient plus avant la Guerre que des effectifs extrêmement réduits. Plusieurs syndicats avaient incliné vers les fédérations internationales, d'autres - c'est le cas de ceux de la ville de Québec - préférèrent l'indépendance à une affiliation nationale. C'est parmi ces syndicats rëfractaires â une affiliation internationale que le clergé trouva ses éléments les plus dynamiques lorsqu'il s'attela à la tâche de former des syndicats catholiques. Leur nationalisme les rendait rëfractaires au syndicalisme international; restait pour le clergé à les convaincre d'associer à ce nationalisme la doctrine sociale de l'Eglise. A partir de la Guerre, le syndicalisme national se perpétua donc au Québec sous une formule confessionnelle. Ce qui amena le clergé â s'intéresser à l'organisation des travailleurs, ce furent les tendances "socialistes" et "anticléricales" qui se sont manifestées au sein des syndicats internationaux. Certaines de leurs réclamations concernant le système d'éducation et le droit de propriété privée ont alarmé les milieux cléricaux qui cruent pouvoir mettre les travailleurs catholiques à l'abri de leur influence. On chercha donc à implanter des syndicats catholiques, formule qu'avaient mis au point les catholiques sociaux en Europe. Née en période de difficultés économiques et mal adaptée aux réalités du monde du travail, la première vague de syndicats catholiques avant la Guerre aboutit à un fiasco complet. Fort de l'expérience acquise, le second groupe de syndiqués catholiques venus se greffer au mouvement après la Guerre, connut plus de succès. Et, à mesure que croissaient leurs effectifs, les chefs du mouvement crurent le moment venu en 1921 de se structurer au plan national en jetant les bases de la Confédération des Travailleurs Catholiques du Canada. Acculée à de sérieuses difficultés de recrutement et en butte â l'hostilité du patronat, la centrale radicalisa certainesde ses options dans les années 20. La négociation de conventions collectives devint prioritaire parmi ses préoccupations pendant que la grève et l'atelier syndical ferme ne lui sont plus apparus comme aussi condamnables. Dès cette époque, commença à s'établir un fossé entre l'idéologie véhiculée par les syndicats catholiques et leurs pratiques syndicales quotidiennes. Cet écart qui est apparu dès la fondation de la CTCC ira en s'accentuant par la suite.
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La Confédération des syndicats nationaux, qui s'est appelée jusqu'en 1960 la Confédération des travailleurs catholiques du Canada (CTCC), et sans conteste l'une des institutions les plus importantes du Québec. Depuis sa fondation en 1921, elle a joué un rôle de tout premier plan, s'affirment à la fois comme un des mouvements organisés des travailleurs et travailleuses et un des principaux agent de transformation sociale. Au cours de son histoire, la CSN s'est toujours distinguée par sa volonté de réformer et profondeur la régime économique et d'instaurer une société plus juste, respecteuse de la dignité des travailleurs. Publié à l'occasion du 60e anniversaire de la CSN, ce livre ne se veut cependant pas une histoire officielle. Il a été écrit par une spécialiste de l'histoire des travailleurs et il s'adresse à ceux et celles qui s'intéressemt à cet aspect fondamental, pourtant encore largement méconnu de l'histoire du Québec. Sommaire de l'éditeur
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En 1999, la Fraternité des policiers et policières de Montréal célébrait son cinquantième anniversaire. Quelles sont les étapes qui ont marqué la vie de ce syndicat? --Description de l'éditeur
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The aim of this paper is to identify and explain the main differences in the structures and strategies of the national union movements in Australia and Canada during the 20th century. Parallel historical narratives reveal that the differences between the two union movements ebbed and waned. They were most similar to each other in the 19th century and after the 1960s, while there was more convincing evidence of divergence in the intermediate period. Following Ross Martin, the explanation offered for these trends emphasises the relationships between unions, political parties and the state. The earlier growth of mass unionism and the political strategies adopted in Australia after their defeats in the 1890s produced more sympathetic state policies (specifically compulsory arbitration from around the turn of the century), which allowed Australian unions to prosper in ways which Canadian unions did not begin to enjoy until the 1940s. At the same time, differences in the types of state policies in the two countries subsequently affected both the structure of unions, Canadian unions being more fragmented at national level than their Australian counterparts, and the strategies they employed, Canadian unions relying more on decentralized collective bargaining compared to the more centralized arbitration approach of Australian unions.
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Provides an overview of the current issue, in particular the contributions to the ongoing discussion of the writing working-class and labour history in Canada. Changes to the structure and membership of the editorial board are discussed, with appreciation expressed to departing members, notably David Bercuson. The advisory board has been discontinued.
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