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  • This paper interprets extensive empirical data on the growth and then stagnation of “modes of flexibility” by using labour process theory, specifically with respect to control and resistance. In a “risk cycle,” management initially seizes an opportunity to reduce costs by transferring risk from capital to labour through some mode of flexibility. The chosen mode is used more and more until further expansion is blocked by the need to overcome resistance, to obtain consent and/or to exercise control. Management then seeks a new mode. The risk cycle is consistent with OECD data on “temporary employment,” and Australian data on “casual employment.” Implications for the gig economy and the future of work are discussed.

  • Cet article interprète les nombreuses données empiriques sur la croissance, puis la stagnation des « modes de flexibilité » à l’aide de la théorie du procès de travail, en particulier en ce qui concerne le contrôle et la résistance. Dans un « cycle de risque », la direction saisit d’abord une occasion de réduire les coûts en transférant le risque du capital au travail par le biais d’un certain mode de flexibilité. Le mode choisi est de plus en plus utilisé jusqu’à ce que l’expansion soit bloquée par la nécessité de vaincre la résistance, d’obtenir le consentement et/ou d’exercer un contrôle. La direction cherche alors un nouveau mode. Le cycle de risque est cohérent avec les données de l’OCDE sur l’« emploi temporaire » et les données australiennes sur l’« emploi occasionnel ». Les implications pour l’économie à la demande et l’avenir du travail sont abordées.

Last update from database: 4/12/25, 4:10 AM (UTC)

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