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The article reviews the book, "Gouverner les fins de carrière à distance. Outplacement et vieillissement actif en emploi," by Thibauld Moulaert.
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Reviews the book "Negotiation: Theory and Practice," by Alvin L. Goldman and Jacques Rojot.
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La puissance et le pouvoir sont des notions fondamentales pour l'étude de la négociation collective. Bien qu'ayant été au coeur des travaux fondateurs des relations industrielles de part et d'autre de l'Atlantique, leur traitement demeure pourtant insatisfaisant. Il convient donc de proposer une conceptualisation spécifi que et nuancée de celles-ci, permettant le cumul des acquis de connaissance afi n, notamment, de mieux comprendre les aff rontements entre employeurs et syndicats ainsi que l'équilibre au sein des régimes de rapports collectifs du travail. Pour ce faire, l'auteur propose une synthèse des travaux antérieurs intégrant certaines contributions majeures du champ de la sociologie politique. La puissance et le pouvoir, notions correspondant à une capacité et son actualisation, y sont envisagés du point de vue de la dépendance qu'entretiennent les parties à la négociation collective ainsi que des ressources et de la capacité stratégique de ces dernières.
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The article reviews the book, "Les artisans de la lumière. Histoire de la Fraternité interprovinciale des ouvriers en électricité," by Monique Audet.
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En marge du modèle dominant de monopole de l’association majoritaire dans les rapports collectifs du travail, le pluralisme syndical s’est exprimé de longue date au Québec et nécessite un aménagement normatif approprié. Le présent article vise à identifier les enjeux d’un tel aménagement à partir d’une étude comparative de trois cas, soit : 1- la participation des associations accréditées aux comités d’équité salariale; 2- le traitement des plaintes relatives au maintien de l’équité salariale dans des entreprises où plus d’une association accréditée représente des salariés; et, 3- la participation des associations syndicales à la négociation des conventions collectives sectorielles de l’industrie québécoise de la construction. L’analyse des solutions retenues par le législateur dans ces trois cas permet de mettre au jour une tension entre efficacité et participation des salariés, ainsi que de discuter des conséquences de celles-ci pour la démocratie au travail.
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Au Québec, les relations du travail dans l'industrie de la construction font l'objet, depuis 1968, d'un encadrement spécifique en marge du Code du travail. L'adoption et l'originalité de ce régime, qui prévoit un éventail de règles visant les rapports collectifs du travail, mais aussi l'emploi des travailleurs de la construction, sont souvent expliquées par les rivalités intersyndicales qui ont marqué le secteur depuis les années 1960. L'objectif du texte est de montrer que la mobilité provinciale des travailleurs de la construction constitue, au Québec, une source de conflits au travail qui, bien que pouvant mettre en présence des organisations syndicales rivales, doit néanmoins être distinguée de ces rivalités naissant du pluralisme syndical. Pour ce faire, après avoir mis en évidence certaines caractéristiques industrielles et économiques de la construction québécoise, nous proposons une analyse de l'évolution du cadre législatif et réglementaire applicable à l'emploi dans ce secteur, en portant une attention particulière aux conflits et manifestations qui l'ont marqué.
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