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The article reviews the mimeograph, "Sixth Annual Conference (April 21-22, 1954)" issued by the Industrial Relations Centre, McGill University (125 pages).
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The article reviews the book, "Effective Personnel Selection Procedures," by C. Harold Stone and William E. Kendall. .
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The article reviews the book, "Handbook of Industrial Engineering and Management," edited by W. Grant Ireson and Eugene L. Grant.
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The article reviews the book, "Money and Motivation : An Analysis of Incentives in Industry," by William F. Whyte et al.
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The article reviews the book, "Personnel Management and Industrial Relations," 4th edition, by Dale Yoder.
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The article reviews the book, "Psychology of Personnel in Business and Industry," 2nd edition, by Roger M. Bellows.
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The article reviews the booklet, "Union Strike Votes : Current Practice and Proposed Controls," by Herbert S. Parnes. Published by the Industrial Relations Section, Princeton University (141 pages).
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The article reviews the book, "The Sociology of Industrial Relations : An Introduction to Industrial Sociology," by John B. Knox.
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The article reviews the book, "The Union Member Speaks," by Hjalmar Rosen and R. A. Hudson Rosen.
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The article reviews the book, "AFL-CIO : Labor United," by Arthur J. Goldberg.
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The article briefly reviews "Report 7: Employee Welfare and Benefit Programs, Proceedings of a Conference, November 1950," (49 pages).
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The article briefly reviews "Report 8: How to Build a Merchandise Knowledge Test," by Josephine S. Welch and C. Harold Stone. July 1951 (21 pages).
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The article briefly reviews "Report 9: Job Evaluation Practices, Proceedings of a Conference," July 1951 (67 pages).
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The article briefly reviews "Report 11: How to Develop a Weighted Application Blank," by Josephine S. Welch, C. Harold Stone and Paterson, February 1952 (19 pages).
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The article briefly reviews "Report 12: Training Programs for Maximum Manpower Effectiveness, Proceedings of a Conference, February 1952," (57 pages).
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Un journalier âgé de 48 ans, et qui compte quatorze ans de service dans une usine de produits chimiques de la province, est condamné à 6 mois de prison (c'aurait pu être 14 ans) pour offense criminelle. Libéré quatre mois plus tard, il cherche à reprendre son poste; mais « c'est la politique de la Compagnie de ne pas garder à son emploi une personne condamnée au criminel », et la Compagnie n'accède pas à sa requête. Le Syndicat loge un grief qui se rend jusqu'à l'arbitrage, invoquant congédiement injustifié et plaidant équité. Le procureur patronal, pour sa part, ne parle plus de la condamnation au criminel, au niveau de l'arbitrage; il renvoie plutôt au Code Civil de la province (arts. 1138, 1202, 1668 et 1670) pour démontrer que le travailleur en cause, par le fait de son emprisonnement, ne pouvait plus rendre à la Compagnie sa prestation de travail et donc que, même si c'était contre son gré, il n'exécutait plus son obligation, d'où extinction automatique de cette dernière, rupture du contrat et libération des deux parties. Le cas de Laurent X. soulève plusieurs points de droit intéressants, dont l'explicitation suit.
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Un article de la revue Relations industrielles / Industrial Relations, diffusée par la plateforme Érudit.
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Le conseiller en relations industrielles est-il vraiment un professionnel? Il est significatif qu'on se pose la question, aussi bien à l'intérieur de la nouvelle société des conseillers en relations industrielles, qui jouit pourtant depuis plus d'un an d’un statut juridique non équivoque, à l’instar de groupements professionnels plus anciens. Tel n'est pas le propos de ce document de travail de démontrer à tout prix que la réponse à la question précitée doit être affirmative. Il ne part, au contraire, d'aucune idée préconçue, visant modestement à étaler des éléments de réponse et à susciter la méditation sur les critères de la profession dans la mesure où ils s'appliquent au cas des conseillers en relations industrielles.
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Après avoir souligné la modification relativement récente, en divers milieux québécois, des attitudes traditionnelles à l'endroit des« cadres » d'entreprise, l'auteur déplore la faiblesse lexicologique du terme« cadres » dans ce contexte, de même que l'ambiguïté de ce vocable globaliste, eu égard à la grande diversité des agents qu'il recouvre. A partir donc d'une esquisse de typologie des« cadres », il s'interroge ensuite sur leursproblèmes présumés ou réels— qu'il s'agisse plus largement d'« aliénation » ou plus spécifiquement de divers malaises concrètement identifiables à partir d'une échelle donnée de besoins. Pour chacun de ces problèmes, l'auteur examine enfin diversessolutions institutionnelles qui sont à la disposition des« cadres » : action patronale, association de cadres, syndicalisme de cadres et législation élargie.
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The author defines in general terms, to the English-speaking businessman, the complex concepts and problems of language as an essential part and vehicle of culture, the relationship of language to nationalism, and the insertion of bilingualism in the business organization of today, especially in Québec.
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- Journal Article (76)